Bien avant ce moment magique où je récolterai mes premières pointes d'asperges, j'ai du m'atteler à la très (très comme dans beaucoup-énormément) difficile étape de la transplantation de mes 4 plants, de mon jardin communautaire à mon terrain. Grâce à ce printemps tardif et à ce froid qui ne nous quitte plus, j'ai eu amplement temps de préparer la plate-bande qui allait devenir leur nouvelle demeure, avant que les premiers turions ne fasse leur apparition.
Déjà, juste le nettoyage et la préparation de cette plate-bande recelait quelque chose d'épique, avec ses roches, ses débris de verre, de porcelaine et de métal, ses vieux clous et ses morceaux d'os toutes bêtes confondues; pas facile de jardiner sur mes terres! Une belle plate-bande de 16 X 5 pieds, nettoyée et retournée, puis tamisée, une fois avec une grille de 1 cm, puis une autre avec une grille de 1/2 cm; le résultat est édifiant!
Mais reste que les plants d'asperges, des mastodontes d'une cinquantaine d'années que j'avais déplacés dans la hâte il y a maintenant 4 ans et qui avaient, comme la photo le démontre, repris toute leur vigueur, ne se sont pas laissés arracher en criant ciseaux. Les racines de l'asperge sont nombreuses et tentaculaires et ont tendance à s'imbriquer les unes dans les autres, tous plants confondus. Il en résulte donc un tapis dense et compact de grosses racines dodues et cassantes, totalement indéracinable, qui m'a laissé le dos et les bras en compote. Mais j'ai réussi, même si, à bout de souffle, je suis passée à 2 cheveux de crier forfait.
Comme la photo le démontre, chaque plant est attaché à un réseau de racines fourni de presque 2 pieds (60 cm) de diamètre et de plus de 1 pied de profond, rempli de terre et lourd comme c'est pas possible, auquel il faut porter le plus grand soin, si on ne veut pas hypothéquer la récolte à venir.
Pari réussi! Les premiers turions affleurent déjà, preuve que la récolte sera au rendez-vous. Ne me reste plus que de planter de nouvelles griffes dans une rang voisin, question de m'assurer de couvrir l'espace qui leur est destiné.
Déjà, juste le nettoyage et la préparation de cette plate-bande recelait quelque chose d'épique, avec ses roches, ses débris de verre, de porcelaine et de métal, ses vieux clous et ses morceaux d'os toutes bêtes confondues; pas facile de jardiner sur mes terres! Une belle plate-bande de 16 X 5 pieds, nettoyée et retournée, puis tamisée, une fois avec une grille de 1 cm, puis une autre avec une grille de 1/2 cm; le résultat est édifiant!
Mais reste que les plants d'asperges, des mastodontes d'une cinquantaine d'années que j'avais déplacés dans la hâte il y a maintenant 4 ans et qui avaient, comme la photo le démontre, repris toute leur vigueur, ne se sont pas laissés arracher en criant ciseaux. Les racines de l'asperge sont nombreuses et tentaculaires et ont tendance à s'imbriquer les unes dans les autres, tous plants confondus. Il en résulte donc un tapis dense et compact de grosses racines dodues et cassantes, totalement indéracinable, qui m'a laissé le dos et les bras en compote. Mais j'ai réussi, même si, à bout de souffle, je suis passée à 2 cheveux de crier forfait.
Comme la photo le démontre, chaque plant est attaché à un réseau de racines fourni de presque 2 pieds (60 cm) de diamètre et de plus de 1 pied de profond, rempli de terre et lourd comme c'est pas possible, auquel il faut porter le plus grand soin, si on ne veut pas hypothéquer la récolte à venir.
Pari réussi! Les premiers turions affleurent déjà, preuve que la récolte sera au rendez-vous. Ne me reste plus que de planter de nouvelles griffes dans une rang voisin, question de m'assurer de couvrir l'espace qui leur est destiné.
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