Je l'ai déjà dit, c'est suite à un tournage sur le Moyen-Orient avec Curieux, que j'ai décidé de me lancer dans la culture de l'ocra. Ça faisait déjà 2 ou 3 ans que l'idée me trottait dans la tête, mais le goût et la texture ne m'emballant tellement pas, que même les hauts plants aux magnifiques fleurs jaune pâle à coeur fushia de mes voisins Philippins, ne parvenaient pas à me convaincre.
Mais là, c'est différent depuis que j'ai découvert ce ragoût d'ocra au citron et à la coriandre qui me fait saliver depuis le mois d'août dernier. En fait, j'y ajouterais bien quelques tomatillos pas trop mûrs et peut-être même quelques feuilles de coriandre vietnamienne, mais même tel-quel, c'est la vivacité et la fraîcheur garantie!
Mais pourquoi encore hésiter ? C'est que les plants d'ocras sont en fait des buissons au feuillage large et abondant, pouvant atteindre plus de 1 mètre sous nos latitudes (autour de 3 sous les tropiques), ce qui en fait des sources d'ombre potentielles pour les autres cultures en plus d'êtres de grands dévoreurs d'espace-jardins.
Mais pourquoi avoir finalement changé d'idée? Parce que j'ai décidé de transférer tous mes cucurbitacées sur mon grand toit plat (assurément le sujet de plusieurs autres topos à venir), ce qui, comme par magie, m'a libéré plusieurs mètres carrés d'espace-jardin.
Alors voilà le résultat des semis à ce jour. Malgré un maigre rendement (50 % de taux de germination), me voici devant des pousses aux feuilles charnues qui rappellent celles des capucines ou même de certaines hypomées.
À suivre...
Mais là, c'est différent depuis que j'ai découvert ce ragoût d'ocra au citron et à la coriandre qui me fait saliver depuis le mois d'août dernier. En fait, j'y ajouterais bien quelques tomatillos pas trop mûrs et peut-être même quelques feuilles de coriandre vietnamienne, mais même tel-quel, c'est la vivacité et la fraîcheur garantie!
Mais pourquoi encore hésiter ? C'est que les plants d'ocras sont en fait des buissons au feuillage large et abondant, pouvant atteindre plus de 1 mètre sous nos latitudes (autour de 3 sous les tropiques), ce qui en fait des sources d'ombre potentielles pour les autres cultures en plus d'êtres de grands dévoreurs d'espace-jardins.
Mais pourquoi avoir finalement changé d'idée? Parce que j'ai décidé de transférer tous mes cucurbitacées sur mon grand toit plat (assurément le sujet de plusieurs autres topos à venir), ce qui, comme par magie, m'a libéré plusieurs mètres carrés d'espace-jardin.
Alors voilà le résultat des semis à ce jour. Malgré un maigre rendement (50 % de taux de germination), me voici devant des pousses aux feuilles charnues qui rappellent celles des capucines ou même de certaines hypomées.
À suivre...
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