Et oui, c'est l'hiver; la neige, le froid, le vent et tous les plaisirs et les joies qu'il apporte à tous ceux qui savent l'apprécier. J'aime l'hiver, mais cela ne m'empêche pas d'attendre le printemps de pied ferme et de m'y préparer avec une frénésie qui m'étonne toujours.
C'était la fête des semences au jardin botanique de Montréal la fin de semaine dernière et, comme d'habitude, j'ai du me faire violence pour respecter la liste outrageusement précise que j'avais dressée. Il faut se méfier des coups de coeur et des achats spontanés; petite semence deviendra grande et aura besoin de soins, d'eau, d'une taille régulière, de fertilisation, et ce, sans compter les maladies et les insectes contre lesquels il nous faudra guerroyer sans faiblir. Dans ces endroits de perdition pour jardiniers amateurs, vaut mieux être plus sage que fou et se souvenir que l'été, c'est aussi fait pour se reposer.
Mais on n'arrête pas les projets pour autant et cette année, je me donne le défi de faire pousser tous mes cucurbitacés (concombres, melons, courges d'hiver et d'été) dans des bacs sur mon gigantesque toit plat. Mes 2 lots dans le jardin communautaire de lachine seront plus facile à cultiver sans ces grandes feuilles qui s'étendent à n'en plus finir et puisqu'il n'y a aucune autre culture à cette hauteur, les cucurbitacés ne souffriront plus des contaminations provenant des autres jardins environnants.
Ainsi, je suis à la recherche d'une option de culture pas trop chère, versatile et, puisque je ne prévois pas faire des travaux de structure, la moins lourde possible. À ce jour, malgré mes intenses recherches, je n'arrive pas à fixer mon choix sur une méthode ou une autre. Je tergiverse, lis et relis, j'hésite et cherche encore. Entre les biotops (trop chers) et les smart pots (trop mous), les chaudières de plastique patentées (trop laides) et les barils à double-fond (trop lourds), je ne sais plus et plus je lis, moins je sais.
Si une âme charitable parcours ce présent texte et connais des arguments pour me convaincre de l'une ou l'autre des options ci-haut mentionnées (ou même d'une autre!), les commentaires sont les bienvenus.
Please, please...
C'était la fête des semences au jardin botanique de Montréal la fin de semaine dernière et, comme d'habitude, j'ai du me faire violence pour respecter la liste outrageusement précise que j'avais dressée. Il faut se méfier des coups de coeur et des achats spontanés; petite semence deviendra grande et aura besoin de soins, d'eau, d'une taille régulière, de fertilisation, et ce, sans compter les maladies et les insectes contre lesquels il nous faudra guerroyer sans faiblir. Dans ces endroits de perdition pour jardiniers amateurs, vaut mieux être plus sage que fou et se souvenir que l'été, c'est aussi fait pour se reposer.
Mais on n'arrête pas les projets pour autant et cette année, je me donne le défi de faire pousser tous mes cucurbitacés (concombres, melons, courges d'hiver et d'été) dans des bacs sur mon gigantesque toit plat. Mes 2 lots dans le jardin communautaire de lachine seront plus facile à cultiver sans ces grandes feuilles qui s'étendent à n'en plus finir et puisqu'il n'y a aucune autre culture à cette hauteur, les cucurbitacés ne souffriront plus des contaminations provenant des autres jardins environnants.
Ainsi, je suis à la recherche d'une option de culture pas trop chère, versatile et, puisque je ne prévois pas faire des travaux de structure, la moins lourde possible. À ce jour, malgré mes intenses recherches, je n'arrive pas à fixer mon choix sur une méthode ou une autre. Je tergiverse, lis et relis, j'hésite et cherche encore. Entre les biotops (trop chers) et les smart pots (trop mous), les chaudières de plastique patentées (trop laides) et les barils à double-fond (trop lourds), je ne sais plus et plus je lis, moins je sais.
Si une âme charitable parcours ce présent texte et connais des arguments pour me convaincre de l'une ou l'autre des options ci-haut mentionnées (ou même d'une autre!), les commentaires sont les bienvenus.
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