Voici l'espace de départ; la porte s'en ira à gauche... |
Après moultes réflexions, j'ai fini par déterminer que j'étais mieux de poser ma porte du côté de ma salle de vinification (pour les curieux, je ne fais pas de vin, mais du cidre et pour les puristes, je pourrais aussi dire cidrification). Cette décision implique donc que je ménage une ouverture dans la cloison que j'ai montée au mois de janvier dernier. Grand bien me fasse, j'avais fini cette pièce avec des panneaux de plywood 1/2 que j'avais vissé directement dans les montants, ce qui veux dire qu'une fois les vis retirées, j'ai pu tout démonter comme dans un jeu de mécano.
L'ouverture faite et le cadre de base assemblé, la finition m'a demandé une certaine dose d'imagination. Puisque je travaille avec des matériaux récupérés, donc imparfaits, mettre de niveau et faire une finition digne de ce nom s'est avérée une aventure qui m'a mangé toute une journée. En fait, ça a prit 2 jours pour faire le cadre, assembler les différentes partie du chambranle et faire la finition, sans oublier la pose de la porte qui, je dois l'avouer, a poussé ma proverbiale patience dans ses derniers retranchements. La porte, pourtant toute petite, dois peser pas loin de 80 livres; bonjour les gros muscles et les astuces pour qu'elles tienne toute seule pendant que je monte dans l'escabeau...
Maintenant, la porte est posée et je vais aux 2 jours défaire des palettes, parce que c'est un travail tellement violent, qu'il me faut prendre une journée pour m'en remettre.
Ma super porte, achetée à l'éco-centre pour la modique somme de $ 30, avec poignée et pentures. |
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